Self-rated stress, distress, mental health, and health as modifiers of the association between long-term exposure to ambient pollutants and mortality

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dc.contributor.author
Thomson, Errol M.
Christidis, Tanya
Pinault, Lauren
Michael Tjepkema, Michael
Colman, Ian
Crouse, Daniel L.
van Donkelaar, Aaron
Martin, Randall V.
Hystad, Perry
Alain Robichaud, Alain
Ménard, Richard
Brook, Jeffrey R.
Burnett, Richard T.
dc.date.accessioned
2024-03-08T20:27:09Z
dc.date.available
2024-03-08T20:27:09Z
dc.date.issued
2020-08-15
dc.description - en
Health Canada conducts studies that investigate factors underlying the health impacts of air pollutants. In the present study, Health Canada, Statistics Canada, and academic collaborators investigated whether people who said their lives were stressful, or who said their health or mental health was poor, were more at risk of dying from air pollution exposure. They found that the relationship between exposure to air pollution and mortality was stronger for individuals who said their mental health was poor compared to those who said it was good. The study provides insight into individual characteristics that contribute to susceptibility to air pollutants. Study results will help identify vulnerable populations and inform risk mitigation strategies.
dc.description.abstract - en
Background Individual and neighbourhood-scale socioeconomic characteristics modify associations between exposure to air pollution and mortality. The role of stress, which may integrate effects of social and environmental exposures on health, is unknown. We examined whether an individual's perspective on their own well-being, as assessed using self-rated measures of stress and health, modifies the pollutant-mortality relationship. Methods The Canadian Community Health Survey (CCHS)-mortality cohort includes respondents from surveys administered between 2001 and 2012 linked to vital statistics and postal codes from 1981 until 2016. Annual fine particulate matter (PM2.5), nitrogen dioxide (NO2), and ozone (O3) exposure estimates were attached to a sample of cohort members aged 30–89 years (n = 398,300 respondents/3,848,400 person-years). We examined whether self-rated stress, distress, mental health, and general health modified associations between long-term exposure to each pollutant (three-year moving average with one-year lag) and non-accidental mortality using Cox survival models, adjusted for individual- (i.e. socioeconomic and behavioural) and neighbourhood-scale covariates. Results In fully-adjusted models, the relationship between exposure to pollutants and mortality was stronger among those with poor self-rated mental health, including a significant difference for NO2 (hazard ratio (HR) = 1.15, 95% CI 1.06–1.25 per IQR) compared to those with very good/excellent mental health (HR = 1.05, 95% CI 1.01–1.08; Cochran's Q = 4.01; p < 0.05). Poor self-rated health was similarly associated with higher pollutant-associated HRs, but only in unadjusted models. Stress and distress did not modify pollutant-mortality associations. Conclusions Poor self-rated mental and general health were associated with increased mortality attributed to exposure to ambient pollutants.
dc.description.abstract-fosrctranslation - fr
Arrière-plan Les caractéristiques socioéconomiques des individus et des quartiers modifient les associations entre l’exposition à la pollution atmosphérique et la mortalité. Le rôle du stress, qui peut intégrer les effets des expositions sociales et environnementales sur la santé, est inconnu. Nous avons examiné si le point de vue d'un individu sur son propre bien-être, tel qu'évalué à l'aide de mesures auto-évaluées du stress et de la santé, modifiait la relation polluant-mortalité. Méthodes La cohorte de mortalité de l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC) comprend les répondants d'enquêtes administrées entre 2001 et 2012 liées aux statistiques de l'état civil et aux codes postaux de 1981 à 2016. Particules fines annuelles (PM2,5), dioxyde d'azote (NO2) et ozone Les estimations de l'exposition (O3) ont été attachées à un échantillon de membres de la cohorte âgés de 30 à 89 ans (n = 398 300 répondants/3 848 400 années-personnes). Nous avons examiné si le stress, la détresse, la santé mentale et l'état de santé général auto-évalués modifiaient les associations entre l'exposition à long terme à chaque polluant (moyenne mobile de trois ans avec un an de décalage) et la mortalité non accidentelle à l'aide de modèles de survie de Cox, ajustés pour covariables individuelles (c’est-à-dire socioéconomiques et comportementales) et à l’échelle du quartier. Résultats Dans les modèles entièrement ajustés, la relation entre l'exposition aux polluants et la mortalité était plus forte chez les personnes ayant une mauvaise santé mentale auto-évaluée, y compris une différence significative pour le NO2 (rapport de risque (HR) = 1,15, IC à 95 % 1,06-1,25 par IQR) par rapport à ceux ayant une très bonne/excellente santé mentale (HR = 1,05, IC à 95 % 1,01-1,08 ; Q de Cochran = 4,01 ; p < 0,05). Une mauvaise santé auto-évaluée était également associée à des HR associés aux polluants plus élevés, mais uniquement dans les modèles non ajustés. Le stress et la détresse n’ont pas modifié les associations polluant-mortalité. Conclusions Une mauvaise santé mentale et générale auto-évaluée était associée à une mortalité accrue attribuée à l’exposition aux polluants ambiants.
dc.description.fosrctranslation - fr
Santé Canada mène des études qui étudient les facteurs sous-jacents aux effets des polluants atmosphériques sur la santé. Dans la présente étude, Santé Canada, Statistique Canada et des collaborateurs universitaires ont cherché à savoir si les personnes qui disaient que leur vie était stressante ou qui disaient que leur santé ou leur santé mentale était mauvaise étaient plus à risque de mourir d'une exposition à la pollution atmosphérique. Ils ont constaté que la relation entre l’exposition à la pollution atmosphérique et la mortalité était plus forte chez les personnes déclarant que leur santé mentale était mauvaise que chez celles déclarant qu’elle était bonne. L'étude donne un aperçu des caractéristiques individuelles qui contribuent à la sensibilité aux polluants atmosphériques. Les résultats de l’étude aideront à identifier les populations vulnérables et à éclairer les stratégies d’atténuation des risques.
dc.identifier.doi
https://doi.org/10.1016/j.envres.2020.109973
dc.identifier.uri
https://open-science.canada.ca/handle/123456789/2045
dc.language.iso
en
dc.publisher
Elsevier
dc.subject - en
Health
Health and safety
dc.subject - fr
Santé
Santé et sécurité
dc.subject.en - en
Health
Health and safety
dc.subject.fr - fr
Santé
Santé et sécurité
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Self-rated stress, distress, mental health, and health as modifiers of the association between long-term exposure to ambient pollutants and mortality
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Article
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