Radioactivity concentration measurements in fish and shellfish samples from the west coast of Canada after the Fukushima nuclear accident (2011–2018)

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dc.contributor.author
Cooke, M.W.
Trudel, M.
Gurney-Smith, H.J.
Kellogg, J.P.
Cullen, J.T.
Francisco, B.B.A.
Mercier, J.F.
Chen, J.
dc.date.accessioned
2023-06-08T18:52:20Z
dc.date.available
2023-06-08T18:52:20Z
dc.date.issued
2022-06-11
dc.description.abstract - en
Radioactive contamination of the Pacific Ocean following the Fukushima nuclear accident has raised public concern about seafood safety, particularly in coastal Indigenous communities. To address this, Health Canada and partners have collected and analyzed a total of 621 samples of commonly consumed salmon, ground fish, and shellfish from the Canadian west coast from 2011 to 2018. While the vast majority of the 137Cs and 134Cs levels were below the Minimum Detectable Concentration (MDC, typically 0.7–1.0 Bq kg−1 fw for a 6 h counting), further examination of 19 fish samples revealed 137Cs concentrations of 0.17–0.53 Bq kg−1 fw with an average value and uncertainty (k = 1) of 0.29 ± 0.02 Bq kg−1 fw. Of these, only two samples were found to have trace levels of 134Cs likely derived from the Fukushima accident. The global fallout contribution from atmospheric nuclear weapons testing to the observed 137Cs in these two samples was determined to be 0.26 ± 0.08 Bq kg−1 fw (49 ± 14%) and 0.12 ± 0.02 Bq kg−1 fw (24 ± 4%) for collection years 2015 and 2016, respectively. The annual average level of 137Cs in fish and shellfish was also determined by spectral summation for collection years 2014–2018. In fish, 137Cs levels determined through spectral summation were relatively constant (0.18–0.25 Bq kg−1 fw) with an average value and uncertainty of 0.21 ± 0.02 Bq kg−1 fw. By contrast, 38 shellfish samples (bivalves) were measured and revealed no radiocesium or other anomalies in either tissue or shell. In all, measurements over eight years showed that the radioactivity in fish and shellfish was dominated by natural radionuclides and that the level of anthropogenic radionuclides, as indicated by the radioactive cesium content, remained small. An upper bound for ingested dose from 137Cs was determined to be approximately 0.26 μSv per year, far below the worldwide average annual effective dose of 2400 μSv from exposure to natural background radiation. We can therefore conclude that fish, such as salmon, ground fish, and shellfish from the Canadian west coast are of no radiological health concern despite the Fukushima Dai-ichi nuclear accident of 2011.
dc.description.abstract-fosrctranslation - fr
La contamination radioactive de l'océan Pacifique à la suite de l'accident nucléaire de Fukushima a suscité l'inquiétude du public quant à la sécurité des produits de la mer, en particulier dans les communautés autochtones côtières. Pour répondre à cette préoccupation, Santé Canada et ses partenaires ont collecté et analysé un total de 621 échantillons de saumon, de poisson de fond et de mollusques et crustacés couramment consommés sur la côte ouest du Canada entre 2011 et 2018. Alors que la grande majorité des niveaux de 137Cs et de 134Cs étaient inférieurs à la concentration minimale détectable (CMD, généralement de 0,7 à 1,0 Bq kg-1 p.c. pour un comptage de 6 heures), un examen plus approfondi de 19 échantillons de poisson a révélé des concentrations de 137Cs de 0,17 à 0,53 Bq kg-1 p.c., avec une valeur moyenne et une incertitude (k = 1) de 0,29 ± 0,02 Bq kg-1 p.c. Parmi ces échantillons, seuls deux contenaient des traces de 134Cs provenant probablement de l'accident de Fukushima. La contribution des retombées globales des essais atmosphériques d'armes nucléaires aux 137Cs observés dans ces deux échantillons a été déterminée comme étant de 0,26 ± 0,08 Bq kg-1 fw (49 ± 14 %) et de 0,12 ± 0,02 Bq kg-1 fw (24 ± 4 %) pour les années de collecte 2015 et 2016, respectivement. Le niveau moyen annuel de 137Cs dans les poissons et les mollusques a également été déterminé par sommation spectrale pour les années de collecte 2014-2018. Dans les poissons, les niveaux de 137Cs déterminés par sommation spectrale étaient relativement constants (0,18-0,25 Bq kg-1 fw) avec une valeur moyenne et une incertitude de 0,21 ± 0,02 Bq kg-1 fw. En revanche, 38 échantillons de coquillages (bivalves) ont été mesurés et n'ont révélé aucune anomalie de radiocésium ou autre dans les tissus ou les coquilles. Au total, les mesures effectuées pendant huit ans ont montré que la radioactivité des poissons et des mollusques était dominée par des radionucléides naturels et que le niveau de radionucléides anthropiques, comme l'indique la teneur en césium radioactif, restait faible. La limite supérieure de la dose ingérée due au 137Cs a été fixée à environ 0,26 μSv par an, ce qui est bien inférieur à la dose effective annuelle moyenne mondiale de 2 400 μSv due à l'exposition au rayonnement naturel. Nous pouvons donc conclure que les poissons, tels que le saumon, les poissons de fond et les mollusques et crustacés de la côte ouest canadienne ne posent pas de problème de santé radiologique malgré l'accident nucléaire de Fukushima Dai-ichi de 2011.
dc.identifier.doi
https://doi.org/10.1016/j.jenvrad.2022.106934
dc.identifier.uri
https://open-science.canada.ca/handle/123456789/625
dc.language.iso
en
dc.publisher
ScienceDirect
dc.subject - en
Health
Health and safety
dc.subject - fr
Santé
Santé et sécurité
dc.subject.en - en
Health
Health and safety
dc.subject.fr - fr
Santé
Santé et sécurité
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Radioactivity concentration measurements in fish and shellfish samples from the west coast of Canada after the Fukushima nuclear accident (2011–2018)
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Article
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