Ambient air pollution and emergency department visits in Toronto, Canada

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dc.contributor.author
Szyszkowicz, Mieczysław
de Angelis, Nicholas
dc.date.accessioned
2024-03-06T21:43:46Z
dc.date.available
2024-03-06T21:43:46Z
dc.date.issued
2021-02-06
dc.description - en
Health Canada is responsible for conducting risk assessments on air pollution as part of the Addressing Air Pollution Horizontal Initiative. There is growing evidence suggesting that air pollution can contribute to a large spectrum of health problems. Health Canada carried out a study to examine whether air pollution concentration levels are associated with various health conditions. Results show that admissions to emergency departments for 12 different classes of diseases were related to air pollution levels on the day of admission and in two weeks preceding admission. The study found that air pollutants, notably carbon monoxide, nitrogen dioxide, particulate matter, and the air quality health index (AQHI), were associated with number of ED visit for amalgamated health problems, particularly in colder months. The results suggest that ambient air pollutants may contribute to emergency department visits for various health conditions, possibly reflecting acute impacts on human organs. These data add to the body of knowledge used in assessing population health impacts and in identifying vulnerable sub-populations.
dc.description.abstract - en
To investigate the acute impact of various air pollutants on various disease groups in the urban area of the city of Toronto, Canada. Statistical models were developed to estimate the relative risk of an emergency department visit associated with ambient air pollution concentration levels. These models were generated for 8 air pollutants (lagged from 0 to 14 days) and for 18 strata (based on sex, age group, and season). Twelve disease groups extracted from the International Classification of Diseases 10th Revision (ICD-10) were used as health classifications in the models. The qualitative results were collected in matrices composed of 18 rows (strata) and 15 columns (lags) for each air pollutant and the 12 health classifications. The matrix cells were assigned a value of 1 if the association was positively statistically significant; otherwise, they were assigned to a value of 0. The constructed matrices were totalized separately for each air pollutant. The resulting matrices show qualitative associations for grouped diseases, air pollutants, and their corresponding lagged concentrations and indicate the frequency of statistically significant positive associations. The results are presented in colour-gradient matrices with the number of associations for every combination of patient strata, pollutant, and lag in corresponding cells. The highest number of the associations was 8 (of 12 possible) obtained for the same day exposure to carbon monoxide, nitrogen dioxide, and days with elevated air quality health index (AQHI) values. For carbon monoxide, the number of the associations decreases with the increasing lags. For this air pollutant, there were almost no associations after 8 days of lag. In the case of nitrogen dioxide, the associations persist even for longer lags. The numerical values obtained from the models are provided for every pollutant. The constructed matrices are a useful tool to analyze the impact of ambient air pollution concentrations on public health.
dc.description.abstract-fosrctranslation - fr
Étudier l'impact aigu de divers polluants atmosphériques sur divers groupes de maladies dans la zone urbaine de la ville de Toronto, Canada. Des modèles statistiques ont été développés pour estimer le risque relatif d'une visite aux urgences associé aux niveaux de concentration de pollution de l'air ambiant. Ces modèles ont été générés pour 8 polluants atmosphériques (décalés de 0 à 14 jours) et pour 18 strates (en fonction du sexe, du groupe d'âge et de la saison). Douze groupes de maladies extraits de la 10e révision de la Classification internationale des maladies (ICD-10) ont été utilisés comme classifications de santé dans les modèles. Les résultats qualitatifs ont été collectés dans des matrices composées de 18 lignes (strates) et 15 colonnes (décalages) pour chaque polluant atmosphérique et les 12 classifications sanitaires. Les cellules de la matrice ont reçu la valeur 1 si l'association était positivement statistiquement significative ; sinon, la valeur 0 leur a été attribuée. Les matrices construites ont été totalisées séparément pour chaque polluant atmosphérique. Les matrices résultantes montrent des associations qualitatives pour des maladies groupées, des polluants atmosphériques et leurs concentrations décalées correspondantes et indiquent la fréquence des associations positives statistiquement significatives. Les résultats sont présentés sous forme de matrices de dégradés de couleurs avec le nombre d'associations pour chaque combinaison de strates de patients, de polluants et de décalage dans les cellules correspondantes. Le nombre le plus élevé d'associations était de 8 (sur 12 possibles) obtenu pour le même jour d'exposition au monoxyde de carbone, au dioxyde d'azote et aux jours avec des valeurs élevées de l'indice qualité air santé (CAS). Pour le monoxyde de carbone, le nombre d'associations diminue avec l'augmentation des décalages. Pour ce polluant atmosphérique, il n’y avait quasiment aucune association après 8 jours de décalage. Dans le cas du dioxyde d'azote, les associations persistent même pendant des délais plus longs. Les valeurs numériques obtenues à partir des modèles sont fournies pour chaque polluant. Les matrices construites constituent un outil utile pour analyser l’impact des concentrations de pollution de l’air ambiant sur la santé publique.
dc.description.fosrctranslation - fr
Santé Canada est responsable de mener des évaluations des risques liés à la pollution atmosphérique dans le cadre de l'Initiative horizontale de lutte contre la pollution atmosphérique. De plus en plus de preuves suggèrent que la pollution atmosphérique peut contribuer à un large éventail de problèmes de santé. Santé Canada a mené une étude pour déterminer si les niveaux de concentration de pollution atmosphérique sont associés à divers problèmes de santé. Les résultats montrent que les admissions aux services d'urgence pour 12 classes différentes de maladies étaient liées aux niveaux de pollution de l'air le jour de l'admission et dans les deux semaines précédant l'admission. L’étude a révélé que les polluants atmosphériques, notamment le monoxyde de carbone, le dioxyde d’azote, les particules et la cote air santé (CAS), étaient associés au nombre de visites aux urgences pour des problèmes de santé combinés, en particulier pendant les mois les plus froids. Les résultats suggèrent que les polluants de l'air ambiant peuvent contribuer aux visites aux services d'urgence pour divers problèmes de santé, reflétant peut-être des impacts aigus sur les organes humains. Ces données s'ajoutent à l'ensemble des connaissances utilisées pour évaluer les impacts sur la santé de la population et pour identifier les sous-populations vulnérables.
dc.identifier.doi
https://doi.org/10.1007/s11356-021-12519-3
dc.identifier.uri
https://open-science.canada.ca/handle/123456789/2013
dc.language.iso
en
dc.publisher
Springer
dc.subject - en
Health
Health and safety
dc.subject - fr
Santé
Santé et sécurité
dc.subject.en - en
Health
Health and safety
dc.subject.fr - fr
Santé
Santé et sécurité
dc.title - en
Ambient air pollution and emergency department visits in Toronto, Canada
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Article
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