Air Pollution and Emergency Department Visits for Depression: A Multicity Case-Crossover Study
Air Pollution and Emergency Department Visits for Depression: A Multicity Case-Crossover Study
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- dc.contributor.author
- Szyszkowicz, Mieczysław
- Kousha, Termeh
- Kingsbury, Mila
- Colman, Ian
- dc.date.accessioned
- 2024-04-29T15:06:51Z
- dc.date.available
- 2024-04-29T15:06:51Z
- dc.date.issued
- 2016-08-30
- dc.description - en
- Health Canada is responsible for the assessment the health risks associated with air pollution as described in the Clean Air Regulatory Agenda. Air pollution is composed of a wide range of harmful gases (including carbon monoxide, ozone, nitrogen dioxide) and dust particles of varying sizes. Evidence indicates that exposure to air pollution can aggravate a wide range of health problems, including depression. Depression is among the most common mental health problems: 1 in 10 Canadians experience major depression at some point in their lives which interferes with daily functioning and quality of life and places a significant burden on the health care system. Many factors can contribute to depression: stressful life events, medical treatments and other (non-psychiatric) illnesses. In addition, recent studies have demonstrated an association between air pollution and symptoms of depression. By examining data on daily air quality and comparing it with data on the number of people who go to hospital emergency departments for depression (obtained from nine hospitals across Ontario), this study tried to determine which components of air pollution could aggravate depression. The results revealed that more patients went to emergency departments for treatment of depression when ozone and sulphur dioxide levels were higher than in other time periods. The number of treated patients with depression was also associated with dust levels and the time of year. While this study adds to the growing body of evidence that links depression to certain air pollutants, additional studies would be required to fully understand the association of air pollution and depression and the reasons for that association. This study was conducted in collaboration with University of Ottawa, Ottawa.
- dc.description.abstract - en
- Background: The aim of this study was to investigate the associations between ambient air pollution and emergency department (ED) visits for depression. Methods: Health data were retrieved from the National Ambulatory Care Reporting System. ED visits for depression were retrieved from the National Ambulatory Care Reporting System using the International Classification of Diseases (ICD-10), Tenth revision codes; ICD-10: F32 (mild depressive episode) and ICD-10: F33 (recurrent depressive disorder). A case-crossover design was employed for this study. Conditional logistic regression models were used to estimate odds ratios. Results: For females, exposure to ozone was associated with increased risk of an ED visit for depression between 1 and 7 days after exposure, for males, between 1 and 5, and 8 days after exposure, with odds ratios ranging between 1.02 and 1.03. Conclusions: These findings suggest that, as hypothesized, there is a positive association between exposure to air pollution and ED visits for depression.
- dc.description.abstract-fosrctranslation - fr
- Contexte : Le but de cette étude était d'étudier les associations entre la pollution de l'air ambiant et les visites aux services d'urgence (SU) pour dépression. Méthodes : Les données sur la santé ont été extraites du National Ambulatory Care Reporting System. Les visites à l'urgence pour dépression ont été extraites du Système national d'information sur les soins ambulatoires à l'aide des codes de la dixième révision de la Classification internationale des maladies (CIM-10) ; CIM-10 : F32 (épisode dépressif léger) et CIM-10 : F33 (trouble dépressif récurrent). Une conception de cas croisés a été utilisée pour cette étude. Des modèles de régression logistique conditionnelle ont été utilisés pour estimer les rapports de cotes. Résultats : Pour les femmes, l'exposition à l'ozone était associée à un risque accru de visite au service d'urgence pour dépression entre 1 et 7 jours après l'exposition, pour les hommes, entre 1 et 5 jours et 8 jours après l'exposition, avec des rapports de cotes compris entre 1,02 et 1,03. Conclusions : Ces résultats suggèrent que, comme on l'a supposé, il existe une association positive entre l'exposition à la pollution de l'air et les visites aux urgences pour dépression.
- dc.description.fosrctranslation - fr
- Santé Canada est responsable de l'évaluation des risques pour la santé associés à la pollution atmosphérique, comme décrit dans le Programme de réglementation de la qualité de l'air. La pollution de l’air est composée d’un large éventail de gaz nocifs (notamment le monoxyde de carbone, l’ozone et le dioxyde d’azote) et de particules de poussière de différentes tailles. Les données indiquent que l’exposition à la pollution atmosphérique peut aggraver un large éventail de problèmes de santé, notamment la dépression. La dépression fait partie des problèmes de santé mentale les plus courants : 1 Canadien sur 10 souffre de dépression majeure à un moment donné de sa vie, ce qui nuit au fonctionnement quotidien et à la qualité de vie et impose un fardeau important au système de santé. De nombreux facteurs peuvent contribuer à la dépression : événements stressants de la vie, traitements médicaux et autres maladies (non psychiatriques). De plus, des études récentes ont démontré une association entre la pollution de l’air et les symptômes de la dépression. En examinant les données sur la qualité de l'air quotidienne et en les comparant avec les données sur le nombre de personnes qui se rendent aux urgences des hôpitaux pour dépression (obtenues dans neuf hôpitaux de l'Ontario), cette étude a tenté de déterminer quelles composantes de la pollution atmosphérique pourraient aggraver la dépression. Les résultats ont révélé que davantage de patients se rendaient aux urgences pour traiter leur dépression lorsque les niveaux d'ozone et de dioxyde de soufre étaient plus élevés qu'à d'autres périodes. Le nombre de patients traités souffrant de dépression était également associé aux niveaux de poussière et à la période de l’année. Bien que cette étude s’ajoute au nombre croissant de preuves reliant la dépression à certains polluants atmosphériques, des études supplémentaires seraient nécessaires pour bien comprendre l’association entre la pollution atmosphérique et la dépression et les raisons de cette association. Cette étude a été menée en collaboration avec l'Université d'Ottawa, Ottawa.
- dc.identifier.doi
- https://doi.org/10.4137/EHI.S40493
- dc.identifier.uri
- https://open-science.canada.ca/handle/123456789/2382
- dc.language.iso
- en
- dc.publisher
- SAGE Publications
- dc.subject - en
- Health
- Health and safety
- dc.subject - fr
- Santé
- Santé et sécurité
- dc.subject.en - en
- Health
- Health and safety
- dc.subject.fr - fr
- Santé
- Santé et sécurité
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- Air Pollution and Emergency Department Visits for Depression: A Multicity Case-Crossover Study
- dc.type - en
- Article
- dc.type - fr
- Article
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