Ambient air pollution exposure and emergency department visits for substance abuse
Ambient air pollution exposure and emergency department visits for substance abuse
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- dc.contributor.author
- Szyszkowicz, Mieczysław
- Thomson, Errol M.
- Colman, Ian
- Rowe, Brian H.
- dc.date.accessioned
- 2024-04-12T16:05:31Z
- dc.date.available
- 2024-04-12T16:05:31Z
- dc.date.issued
- 2018-06-29
- dc.description - en
- Health Canada is responsible for conducting risk assessments on air pollution as part of the Clean Air Regulatory Agenda. There is growing evidence suggesting that air pollution can contribute to cognitive and psychiatric disorders. Health Canada, in collaboration with researchers at the University of Ottawa and the University of Alberta, carried out a study to examine whether air pollution levels are associated with substance abuse. Admissions to emergency departments for alcohol and drug abuse were related to air pollution levels on the day of admission and in the week preceding admission. The study found that air pollutants, notably carbon monoxide, nitrogen dioxide, and particulate matter, were associated with increased hospitalisation for substance abuse, particularly in colder months. The results suggests that ambient air pollutants may contribute to emergency department visits for substance abuse, possibly reflecting acute impacts on mental health. These data add to the body of knowledge used in assessing population health impacts and in identifying vulnerable sub-populations.
- dc.description.abstract - en
- There is growing evidence supporting the notion that exposure to air pollution can contribute to cognitive and psychiatric disorders, including depression and suicide. Given the relationship between exposure to acute stressors and substance abuse, the present study assessed the association between exposure to ambient air pollution and emergency department (ED) visits for alcohol and drug abuse. ED visit data selected according to International Classification of Disease (ICD-9) coding 303 (alcohol dependence syndromes) and 305 (non-dependent abuse of drugs) were collected in five hospitals in Edmonton, Canada. A time-stratified case crossover design was used. Conditional logistic regression was applied to calculate odds ratios (OR) and 95% confidence intervals (95% CI). Season, temperature, and relative humidity were adjusted for using natural splines. Results are reported for an increase in pollutant concentrations equivalent to one interquartile range (IQR). Statistically significant positive associations with substance abuse were observed for CO, NO2 and particulate matter with an aerodynamic diameter less than 10 μm (PM10) and 2.5 μm (PM2.5). The strongest results were obtained in the cold period (October–March) for 1-day lagged CO (OR = 1.03, 95% CI: 1.01, 1.05, IQR = 0.4 ppm) and NO2 (OR = 1.04, 95% CI: 1.01, 1.07, IQR = 12.8 ppb); ORs were also significant for CO and NO2 with lags of 2 to 6 days and 2 to 7 days, respectively. The study suggests that, even at low levels, increases in ambient CO, NO2, and PMs are associated with increased hospital admissions for substance abuse, possibly as a result of impacts of air quality on mental health or depression.
- dc.description.abstract-fosrctranslation - fr
- De plus en plus de preuves soutiennent l’idée selon laquelle l’exposition à la pollution atmosphérique peut contribuer aux troubles cognitifs et psychiatriques, notamment la dépression et le suicide. Compte tenu de la relation entre l'exposition à des facteurs de stress aigus et la toxicomanie, la présente étude a évalué l'association entre l'exposition à la pollution de l'air ambiant et les visites aux urgences pour abus d'alcool et de drogues. Les données des visites à l'urgence sélectionnées selon la Classification internationale des maladies (CIM-9) codant 303 (syndromes de dépendance à l'alcool) et 305 (abus non dépendant de drogues) ont été recueillies dans cinq hôpitaux d'Edmonton, au Canada. Une conception croisée de cas stratifiés dans le temps a été utilisée. Une régression logistique conditionnelle a été appliquée pour calculer les rapports de cotes (OR) et les intervalles de confiance à 95 % (IC à 95 %). La saison, la température et l'humidité relative ont été ajustées pour utiliser des splines naturelles. Les résultats sont rapportés pour une augmentation des concentrations de polluants équivalente à un intervalle interquartile (IQR). Des associations positives statistiquement significatives avec la toxicomanie ont été observées pour le CO, le NO2 et les particules dont le diamètre aérodynamique est inférieur à 10 μm (PM10) et 2,5 μm (PM2,5). Les résultats les plus forts ont été obtenus pendant la période froide (octobre-mars) pour le CO décalé d'un jour (OR = 1,03, IC à 95 % : 1,01, 1,05, IQR = 0,4 ppm) et le NO2 (OR = 1,04, IC à 95 % : 1,01). , 1,07, IQR = 12,8 ppb); Les OR étaient également significatifs pour le CO et le NO2 avec des décalages de 2 à 6 jours et de 2 à 7 jours, respectivement. L'étude suggère que, même à de faibles niveaux, l'augmentation du CO, du NO2 et des particules ambiants est associée à une augmentation des hospitalisations pour toxicomanie, probablement en raison des impacts de la qualité de l'air sur la santé mentale ou la dépression.
- dc.description.fosrctranslation - fr
- Santé Canada est responsable de mener des évaluations des risques liés à la pollution atmosphérique dans le cadre du Programme de réglementation de la qualité de l'air. De plus en plus de preuves suggèrent que la pollution atmosphérique peut contribuer aux troubles cognitifs et psychiatriques. Santé Canada, en collaboration avec des chercheurs de l'Université d'Ottawa et de l'Université de l'Alberta, a mené une étude pour déterminer si les niveaux de pollution atmosphérique sont associés à la toxicomanie. Les admissions aux urgences pour abus d’alcool et de drogues étaient liées aux niveaux de pollution de l’air le jour de l’admission et au cours de la semaine précédant l’admission. L'étude a révélé que les polluants atmosphériques, notamment le monoxyde de carbone, le dioxyde d'azote et les particules, étaient associés à une augmentation des hospitalisations pour toxicomanie, en particulier pendant les mois les plus froids. Les résultats suggèrent que les polluants de l’air ambiant peuvent contribuer aux visites aux urgences pour toxicomanie, reflétant peut-être des impacts aigus sur la santé mentale. Ces données s'ajoutent à l'ensemble des connaissances utilisées pour évaluer les impacts sur la santé de la population et pour identifier les sous-populations vulnérables.
- dc.identifier.doi
- https://doi.org/10.1371/journal.pone.0199826
- dc.identifier.uri
- https://open-science.canada.ca/handle/123456789/2313
- dc.language.iso
- en
- dc.publisher
- Public Library of Science
- dc.subject - en
- Health
- Health and safety
- dc.subject - fr
- Santé
- Santé et sécurité
- dc.subject.en - en
- Health
- Health and safety
- dc.subject.fr - fr
- Santé
- Santé et sécurité
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- Ambient air pollution exposure and emergency department visits for substance abuse
- dc.type - en
- Article
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