A report on radioactivity measurements of fish samples from the west coast of Canada
A report on radioactivity measurements of fish samples from the west coast of Canada
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- dc.contributor.author
- Chen, Jing
- Cooke, Michael W.
- Mercier, Jean-Francois
- Ahier, Brian
- Trudel, Marc
- Workman, Greg
- Wyeth, Malcolm
- Brown, Robin
- dc.date.accessioned
- 2024-05-03T15:45:49Z
- dc.date.available
- 2024-05-03T15:45:49Z
- dc.date.issued
- 2014-05-02
- dc.description - en
- The Fukushima-Daiichi nuclear accident in 2011 resulted in in significant and ongoing releases of radioactive contaminants, especially the long-lived radioactive caesium-137 (137Cs), into the Pacific Ocean. This raised public concerns about the safety of consuming west coast seafood. After the Fukushima-Daiichi nuclear accident, many studies have shown that radioactive caesium levels in fish caught outside of Japan were below experimental detection limits. These findings are summarised in the document, Preliminary Dose Estimation from the Nuclear Accident after the 2011 Great East Japan Earthquake and Tsunami prepared by the World Health Organization. To complement these findings from Canadian perspective, more than 60 fish samples (adult salmon and groundfish) harvested from the Canadian west coast by Fisheries and Oceans Canada in 2013 were provided to Health Canada for radiological analysis. None of the fish samples analyzed in this study contained any detectable levels of 134Cs and 137Cs under given experimental setting with the average detection limit of about 2 Bq/kg. Using a conservative worst-case scenario where all fish samples would contain 137Cs exactly at the detection limit level and 134Cs at half of the detection limit level (to account for much shorter half-life of 134Cs), the resulting radiation dose from potential exposure to assumed 134Cs and 137Cs contamination would be a very small fraction of the annual dose from exposure to natural background radiation in Canada. Therefore, fish, such as salmon and groundfish, from Canadian west coast are of no radiological health concern.
- dc.description.abstract - en
- Even though many studies have shown that radioactive caesium levels in fish caught outside of Japan were below experimental detection limits of a few Bq kg(-1), significant public concern has been expressed about the safety of consuming seafood from the Pacific Ocean following the Fukushima-Daiichi nuclear accident. To address the public concerns, samples of commonly consumed salmon and groundfish harvested from the Canadian west coast in 2013 were analysed for radioactive caesium. None of the fish samples analysed in this study contained any detectable levels of (134)Cs and (137)Cs under given experimental setting with the average detection limit of ∼2 Bq kg(-1). Using a conservative worst-case scenario where all fish samples would contain (137)Cs exactly at the detection limit level and (134)Cs at half of the detection limit level (to account for much shorter half-life of (134)Cs), the resulting radiation dose for people from consumption of this fish would be a very small fraction of the annual dose from exposure to natural background radiation in Canada. Therefore, fish, such as salmon and groundfish, from the Canadian west coast are of no radiological health concern.
- dc.description.abstract-fosrctranslation - fr
- Même si de nombreuses études ont montré que les niveaux de césium radioactif dans les poissons capturés en dehors du Japon étaient inférieurs aux limites de détection expérimentale de quelques Bq kg(-1), d'importantes inquiétudes du public ont été exprimées quant à la sécurité de la consommation de fruits de mer de l'océan Pacifique après l'accident de Fukushima. -Accident nucléaire de Daiichi. Pour répondre aux préoccupations du public, des échantillons de saumon et de poisson de fond couramment consommés et récoltés sur la côte ouest canadienne en 2013 ont été analysés pour détecter la présence de césium radioactif. Aucun des échantillons de poisson analysés dans cette étude ne contenait de niveaux détectables de (134) Cs et (137) Cs dans un cadre expérimental donné avec une limite de détection moyenne de ∼2 Bq kg(-1). En utilisant un scénario pessimiste conservateur dans lequel tous les échantillons de poisson contiendraient du (137)Cs exactement au niveau de la limite de détection et du (134)Cs à la moitié du niveau de la limite de détection (pour tenir compte d'une demi-vie beaucoup plus courte du (134)Cs) , la dose de rayonnement résultant de la consommation de ce poisson pour les personnes ne représenterait qu'une très petite fraction de la dose annuelle résultant de l'exposition au rayonnement de fond naturel au Canada. Par conséquent, les poissons, comme le saumon et le poisson de fond, de la côte ouest canadienne ne présentent aucun risque radiologique pour la santé.
- dc.description.fosrctranslation - fr
- L’accident nucléaire de Fukushima-Daiichi en 2011 a entraîné des rejets importants et continus de contaminants radioactifs, en particulier du césium 137 radioactif à longue durée de vie (137Cs), dans l’océan Pacifique. Cela a soulevé des inquiétudes dans le public quant à la sécurité de la consommation de fruits de mer de la côte ouest. Après l'accident nucléaire de Fukushima-Daiichi, de nombreuses études ont montré que les niveaux de césium radioactif dans les poissons capturés en dehors du Japon étaient inférieurs aux limites de détection expérimentale. Ces résultats sont résumés dans le document intitulé Estimation préliminaire de la dose résultant de l'accident nucléaire après le tremblement de terre et le tsunami du Grand Est du Japon de 2011, préparé par l'Organisation mondiale de la santé. Pour compléter ces résultats du point de vue canadien, plus de 60 échantillons de poissons (saumons adultes et poissons de fond) récoltés sur la côte ouest canadienne par Pêches et Océans Canada en 2013 ont été fournis à Santé Canada pour analyse radiologique. Aucun des échantillons de poisson analysés dans cette étude ne contenait de niveaux détectables de 134Cs et 137Cs dans un cadre expérimental donné avec une limite de détection moyenne d'environ 2 Bq/kg. En utilisant un scénario pessimiste prudent dans lequel tous les échantillons de poisson contiendraient du 137Cs exactement au niveau limite de détection et du 134Cs à la moitié du niveau limite de détection (pour tenir compte d'une demi-vie beaucoup plus courte du 134Cs), la dose de rayonnement résultant de l'exposition potentielle à On suppose que la contamination par le 134Cs et le 137Cs ne représenterait qu’une très petite fraction de la dose annuelle provenant de l’exposition au rayonnement naturel au Canada. Par conséquent, les poissons, comme le saumon et le poisson de fond, de la côte ouest canadienne ne présentent aucun risque radiologique pour la santé.
- dc.identifier.doi
- https://doi.org/10.1093/rpd/ncu150
- dc.identifier.uri
- https://open-science.canada.ca/handle/123456789/2396
- dc.language.iso
- en
- dc.publisher
- Oxford University Press
- dc.subject - en
- Health
- Health and safety
- dc.subject - fr
- Santé
- Santé et sécurité
- dc.subject.en - en
- Health
- Health and safety
- dc.subject.fr - fr
- Santé
- Santé et sécurité
- dc.title - en
- A report on radioactivity measurements of fish samples from the west coast of Canada
- dc.type - en
- Article
- dc.type - fr
- Article
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