Recovery potential assessment for shortfin mako shark (Isurus oxyrinchus)
Recovery potential assessment for shortfin mako shark (Isurus oxyrinchus)
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- dc.contributor.author
- Canadian Science Advisory Secretariat
- Canada. Department of Fisheries and Oceans. Maritimes Region
- Canada. Department of Fisheries and Oceans. Gulf Region
- Canada. Department of Fisheries and Oceans. Quebec Region
- Canada. Department of Fisheries and Oceans. Newfoundland and Labrador Region
- dc.date.accessioned
- 2023-05-29T13:27:32Z
- dc.date.available
- 2023-05-29T13:27:32Z
- dc.date.issued
- 2022
- dc.description.abstract - en
- The North Atlantic Designatable Unit (DU) of Shortfin Mako Shark is defined as the population that occurs throughout the Northern Hemisphere of the Atlantic Ocean. It was assessed by the Committee on the Status of Endangered Wildlife in Canada (COSEWIC) as Endangered in 2019. This Recovery Potential Assessment contains information to support decision-making, develop a recovery strategy, or quantify the impact of a listing decision under the Species at Risk Act. Shortfin Mako have a broad distribution throughout Canadian waters, encompassing areas from the Bay of Fundy, into the Gulf of St. Lawrence, out to the Grand Banks towards the Flemish Cap, and off the eastern coast of Newfoundland. Tagged sharks spent the majority of their time in waters between 10–25°C, remaining primarily in the top 600 m of the water column. Shortfin Mako are vulnerable to fishing pressure given their late age at maturity and relatively slow reproductive rate. The 2019 International Commission for the Conservation of Atlantic Tuna (ICCAT) assessment update predicted a decline of approximately 54% in relative abundance from the 1950s until 2018, with the majority of the decline occurring from the 1980s onwards (approximately 39 years; less than two generations). Mortality from various directed and bycatch fisheries was the only threat to the North Atlantic DU of Shortfin Mako identified by COSEWIC. Since 1994, total international catches of Shortfin Mako have averaged 3,685 mt in the North Atlantic, with an average of 67 mt coming from Canada. In Canada, there has never been a directed fishery for Shortfin Mako. Between 2014–2019, the majority of landings of Shortfin Mako by Canadian fisheries (greater than 99%) come from benthic and pelagic longline fisheries in Maritimes Region. The gear types associated with incidental catches of Shortfin Mako include pelagic or drift longline, bottom longline, and otter trawl; with lesser amounts in purse seine, fixed gillnet, handlines, and troll lines. Relative interception probabilities were highest for the pelagic longline fleet, with an average of 48% of observed sets encountering Shortfin Mako. Although the risk associated with individual fisheries in Canada is low, mortality is cumulative and each fishery contributes to population decline for the North Atlantic DU. An abundance estimate or fisheries assessment specific to Canadian waters is not informative because it would consider a very small component of the entire DU. ICCAT assessments use Biomass at Maximum Sustainable Yield (BMSY) or a proxy for BMSY (e.g., Spawning Stock Fecundity at MSY [SSFMSY]) to assess overfished status, which is proposed as the abundance target for Shortfin Mako. There is no distribution target proposed in this RPA. The available data do not allow for quantitative predictions on distribution or changes in distribution for the North Atlantic DU of Shortfin Mako. Total removals (landings + dead discards + post-release mortality of live releases) of 500 mt or less had a 52% probability of rebuilding the North Atlantic stock to SSFMSY by 2070. Landings prohibitions are expected to be the most effective mitigation measure to reduce fishing mortality, and these were introduced for Canadian fisheries starting in 2020. The efficacy of other types of bycatch mitigation measures (gear or bait modifications, time-area closures, effort restrictions, and shark deterrents) are unclear and would need to be tested following implementation. Current practices of using monofilament leaders, corrodible hooks, and releasing sharks in the water by cutting the line as close as possible to the hook should be maintained. At-Sea-Observer coverage is very low or non-existent in some fisheries, which leads to higher uncertainty in the catch rates, discards, and status of Shortfin Mako, especially when scaling limited information up to entire fisheries. There continues to be unreported bycatch in many fisheries, both in Canadian and international waters. Even if Canadian fisheries removals became zero, total international removals would remain well above 500 mt under current management, representing a Persistent Limitation to recovery. While there is scope for Allowable Harm, efforts should be made to keep future removals from all threats occurring in Canada below approximately 59 mt until a Canadian threshold for Allowable Harm can be developed.
- dc.description.abstract-fosrctranslation - fr
- L’unité désignable (UD) de l’Atlantique Nord du requin-taupe bleu est définie comme la population qui se trouve dans tout l’hémisphère Nord de l’océan Atlantique. Elle a été évaluée pour la première fois comme étant en voie de disparition par le COSEPAC en 2019. La présente évaluation du potentiel de rétablissement contient de l’information pour soutenir la prise de décisions, pour élaborer une stratégie de rétablissement ou pour quantifier l’impact d’une décision d’inscription à la Loi sur les espèces en péril (LEP). Le requin-taupe bleu a une vaste aire de répartition dans l’ensemble des eaux canadiennes, englobant des zones allant de la baie de Fundy au golfe du Saint-Laurent, en passant par les Grands Bancs, le bonnet Flamand et la côte Est de Terre-Neuve. Les requins marqués passaient la majeure partie de leur temps dans des eaux de 10 à 25 °C, demeurant principalement dans les 600 m supérieurs de la colonne d’eau. Le requin-taupe bleu est vulnérable aux pressions des pêches, en raison de l’âge tardif de sa maturité et de son taux de reproduction relativement faible. La mise à jour de 2019 de l’évaluation de la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l’Atlantique (CICTA) prévoyait un repli d’environ 54 % de l’abondance relative des années 1950 jusqu’en 2018, la majorité du repli étant observé à partir des années 1980 (environ 39 ans; moins de deux générations). La mortalité attribuable à diverses pêches dirigées et aux prises accessoires était la seule menace pesant sur le requin-taupe bleu dans l’ensemble de l’UD de l’Atlantique Nord, selon le COSEPAC. Depuis 1994, le total des prises internationales de requin-taupe bleu se chiffre en moyenne à 3 685 tonnes métriques (tm) dans l’Atlantique Nord, une moyenne de 67 tm provenant du Canada. Au Canada, il n’y a jamais eu de pêche dirigée de requin-taupe bleu. De 2014 à 2019, la majorité des débarquements de requin-taupe bleu par les pêches canadiennes (plus de 99 %) provenait de pêches à la palangre benthique et pélagique dans la région des Maritimes. Les types d’engins associés aux prises accessoires de requin-taupe bleu comprennent la palangre pélagique ou ligne flottante, la palangre de fond, le chalut à panneaux et, dans une moindre mesure, la senne coulissante, le filet maillant fixe, les palangres ligne dormante et les lignes à traîner. Les probabilités relatives d’interception étaient particulièrement élevées pour la flottille de palangriers, une proportion moyenne de 48 % des mouillages observés ayant pris du requin-taupe bleu. Bien que le risque associé aux pêches individuelles au Canada soit faible, la mortalité est cumulative et chaque pêche contribue au déclin de la population pour l’UD de l’Atlantique Nord. Une estimation de l’abondance ou une évaluation des pêches dans les eaux canadiennes n’apporte pas d’information utile, puisqu’elle ne tiendrait compte que d’une très petite composante de l’UD au complet. Les évaluations de la CICTA s’appuient sur la biomasse au rendement maximum soutenu (Brms) ou une approximation de la Brms (p. ex. la fécondité du stock reproducteur au rms [FSRrms]) pour évaluer l’état de surpêche, qui est proposé comme cible d’abondance pour le requin-taupe bleu. Il n’y a pas d’objectif de répartition proposé dans la présente EPR. Les données disponibles ne permettent pas de faire des prédictions quantitatives sur la répartition ou les fluctuations de la répartition du requin-taupe bleu dans l’UD de l’Atlantique Nord. Les prélèvements totaux (débarquements + rejets de requins morts + mortalité après la remise à l’eau) de 500 tm ou moins avaient une probabilité de 52 % de reconstituer le stock de l’Atlantique Nord à une FSRrms d’ici 2070. Les interdictions de débarquements devraient être la mesure d’atténuation la plus efficace pour réduire la mortalité par les pêches, et elles ont été mises en place pour les pêches canadiennes dès 2020. L’efficacité des autres types de mesures d’atténuation des captures accessoires (modification des engins ou des appâts, fermetures spatiotemporelles, restrictions des efforts et outils dissuasifs anti-requins) n’est pas claire et devrait être évaluée après la mise en œuvre. Les pratiques actuelles consistant à utiliser des guideaux à monofilament et des hameçons corrodables et à remettre à l’eau les requins en coupant la ligne le plus près possible de l’hameçon devraient être maintenues. La couverture par les observateurs en mer est très faible ou inexistante pour certaines pêches, ce qui entraîne une plus grande incertitude en ce qui concerne les taux de prise, les rejets et la situation du requin-taupe bleu, en particulier lorsque l’on met à l’échelle l’information limitée pour l’ensemble des pêches. Il continue d’y avoir des prises accessoires non déclarées dans bien des pêches, tant en eaux canadiennes qu’internationales. Même si les prélèvements des pêches canadiennes tombaient à zéro, le total des prélèvements internationaux demeurerait bien au-dessus de 500 tm compte tenu de la gestion actuelle, ce qui représente une limite persistante au rétablissement. Malgré la marge pour les dommages admissibles, des efforts devraient être déployés pour protéger les prélèvements futurs de toutes les menaces survenant au Canada au-dessous d’environ 59 tm jusqu’à ce qu’un seuil canadien pour les dommages admissibles puisse être établi.
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- dc.identifier.citation
- DFO. 2022. Recovery Potential Assessment for Shortfin Mako Shark (Isurus oxyrinchus). DFO Can. Sci. Advis. Sec. Sci. Advis. Rep. 2021/050.
- dc.identifier.govdoc
- Fs70-6/2021-050E-PDF
- dc.identifier.isbn
- 9780660407463
- dc.identifier.issn
- 1919-5087
- dc.identifier.uri
- https://waves-vagues.dfo-mpo.gc.ca/library-bibliotheque/41056255.pdf
- https://open-science.canada.ca/handle/123456789/432
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- Center for Science Advice (CSA), Maritimes Region, Fisheries and Oceans Canada, Bedford Institute of Oceanography
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- https://open-science.canada.ca/handle/123456789/435
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