Assessing determinants of maternal blood concentrations for persistent organic pollutants and metals in the eastern and western Canadian Arctic

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dc.contributor.author
Curren, Meredith S.
Liang, Chun Lei
Davis, Karelyn
Kandola, Kami
Brewster, Janet
Potyrala, Mary
Chan, Hing Man
dc.date.accessioned
2024-05-03T15:58:00Z
dc.date.available
2024-05-03T15:58:00Z
dc.date.issued
2015-05-14
dc.description.abstract - en
Aboriginal peoples in the Canadian Arctic are exposed to persistent organic pollutants (POPs) and metals mainly through their consumption of a traditional diet of wildlife items. Recent studies indicate that many human chemical levels have decreased in the north, likely due to a combination of reduced global chemical emissions, dietary shifts, and risk mitigation efforts by local health authorities. Body burdens for chemicals in mothers can be further offset by breastfeeding, parity, and other maternal characteristics. We have assessed the impact of several dietary and maternal covariates following a decade of awareness of the contaminant issue in northern Canada, by performing multiple stepwise linear regression analyses from blood concentrations and demographic variables for 176 mothers recruited from Nunavut and the Northwest Territories during the period 2005–2007. A significant aboriginal group effect was observed for the modeled chemicals, except for lead and cadmium, after adjusting for covariates. Further, blood concentrations for POPs and metals were significantly associated with at least one covariate of older age, fewer months spent breastfeeding, more frequent eating of traditional foods, or smoking during pregnancy. Cadmium had the highest explained variance (72.5%) from just two significant covariates (current smoking status and parity). Although Inuit participants from the Northwest Territories consumed more traditional foods in general, Inuit participants from coastal communities in Nunavut continued to demonstrate higher adjusted blood concentrations for POPs and metals examined here. While this is due in part to a higher prevalence of marine mammals in the eastern Arctic diet, it is possible that other aboriginal group effects unrelated to diet may also contribute to elevated chemical body burdens in Canadian Arctic populations.
dc.description.abstract-fosrctranslation - fr
Les peuples autochtones de l'Arctique canadien sont exposés aux polluants organiques persistants (POP) et aux métaux principalement par leur consommation d'un régime alimentaire traditionnel composé d'aliments issus de la faune. Des études récentes indiquent que de nombreux niveaux de produits chimiques humains ont diminué dans le Nord, probablement en raison d'une combinaison de réduction des émissions chimiques mondiales, de changements alimentaires et des efforts d'atténuation des risques déployés par les autorités sanitaires locales. Les charges corporelles liées aux produits chimiques chez les mères peuvent être encore compensées par l'allaitement, la parité et d'autres caractéristiques maternelles. Nous avons évalué l'impact de plusieurs covariables alimentaires et maternelles après une décennie de sensibilisation au problème des contaminants dans le nord du Canada, en effectuant plusieurs analyses de régression linéaire par étapes à partir des concentrations sanguines et des variables démographiques pour 176 mères recrutées au Nunavut et dans les Territoires du Nord-Ouest au cours de la période. 2005-2007. Un effet de groupe autochtone significatif a été observé pour les produits chimiques modélisés, à l'exception du plomb et du cadmium, après ajustement pour tenir compte des covariables. De plus, les concentrations sanguines de POP et de métaux étaient associées de manière significative à au moins une covariable : un âge plus avancé, moins de mois d'allaitement, une consommation plus fréquente d'aliments traditionnels ou le tabagisme pendant la grossesse. Le cadmium présentait la variance expliquée la plus élevée (72,5 %) à partir de seulement deux covariables significatives (le statut tabagique actuel et la parité). Même si les participants inuits des Territoires du Nord-Ouest consommaient généralement davantage d'aliments traditionnels, les participants inuits des communautés côtières du Nunavut ont continué de présenter des concentrations sanguines ajustées plus élevées pour les POP et les métaux examinés ici. Bien que cela soit dû en partie à une prévalence plus élevée de mammifères marins dans le régime alimentaire de l'est de l'Arctique, il est possible que d'autres effets sur les groupes autochtones non liés au régime alimentaire contribuent également à des charges chimiques corporelles élevées dans les populations de l'Arctique canadien.
dc.identifier.doi
https://doi.org/10.1016/j.scitotenv.2015.04.079
dc.identifier.uri
https://open-science.canada.ca/handle/123456789/2398
dc.language.iso
en
dc.publisher
Elsevier
dc.subject - en
Health
Health and safety
dc.subject - fr
Santé
Santé et sécurité
dc.subject.en - en
Health
Health and safety
dc.subject.fr - fr
Santé
Santé et sécurité
dc.title - en
Assessing determinants of maternal blood concentrations for persistent organic pollutants and metals in the eastern and western Canadian Arctic
dc.type - en
Article
dc.type - fr
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