Tritium in fish from remote lakes in northwestern Ontario, Canada
Tritium in fish from remote lakes in northwestern Ontario, Canada
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- dc.contributor.author
- Kim, S.B.
- Rowan, D.
- Chen, J.
- Rodgers, C.M.C.
- Rennie, M.D.
- dc.date.accessioned
- 2024-04-11T15:56:02Z
- dc.date.available
- 2024-04-11T15:56:02Z
- dc.date.issued
- 2018-10-12
- dc.description.abstract - en
- Tritium is most commonly generated as a by-product of nuclear reactors. As such, environmental concentrations are typically only reported near regions of interest, and background concentrations in areas unaffected by anthropogenic disturbance are not well characterized. To provide information on background levels of tritium in the natural environment, tissue-free water tritium (TFWT) and organically-bound tritium (OBT) were measured in the flesh of 106 fish collected within three lakes located at the IISD-Experimental Lakes Area (ELA) in Ontario, Canada in 2014. For the three ELA lakes studied, water tritium (HTO) activity concentration was determined to be below reliably detectable levels (0.6 Bq/L). Fish TFWT was found to be below 0.7 Bq/L, similar to the surrounding water tritium activity concentration. Fish OBT activity concentrations, at below 5 Bq/L, were also very low. Fish size was significantly related to OBT activity in Lake Whitefish and White Sucker from Lake 302, but not in other lakes. Though we observed significant differences in potential tritium exposure to humans among lakes, the levels of tritium reported here are below the Canadian natural background radiation of 1.8 mSv/y. These results provide information on background levels of tritium in freshwater fishes in Canada.
- dc.description.abstract-fosrctranslation - fr
- Le tritium est le plus souvent généré comme sous-produit des réacteurs nucléaires. Ainsi, les concentrations environnementales ne sont généralement signalées qu’à proximité des régions d’intérêt, et les concentrations de fond dans les zones non affectées par les perturbations anthropiques ne sont pas bien caractérisées. Afin de fournir des informations sur les niveaux de fond de tritium dans l'environnement naturel, le tritium de l'eau sans tissus (TFWT) et le tritium lié organiquement (OBT) ont été mesurés dans la chair de 106 poissons capturés dans trois lacs situés dans la région des lacs expérimentaux de l'IISD ( ELA) en Ontario, Canada en 2014. Pour les trois lacs ELA étudiés, la concentration d'activité en tritium dans l'eau (HTO) a été déterminée comme étant inférieure aux niveaux détectables de manière fiable (0,6 Bq/L). Le TFWT des poissons s'est avéré inférieur à 0,7 Bq/L, ce qui est similaire à l'activité volumique du tritium dans l'eau environnante. Les concentrations d'activité de l'OBT dans les poissons, inférieures à 5 Bq/L, étaient également très faibles. La taille des poissons était significativement liée à l'activité de l'OBT chez le grand corégone et le meunier noir du lac 302, mais pas dans les autres lacs. Bien que nous ayons observé des différences significatives dans l'exposition potentielle des humains au tritium entre les lacs, les niveaux de tritium signalés ici sont inférieurs au rayonnement de fond naturel canadien de 1,8 mSv/an. Ces résultats fournissent des informations sur les niveaux de fond de tritium dans les poissons d'eau douce au Canada.
- dc.identifier.doi
- https://doi.org/10.1016/j.jenvrad.2018.10.003
- dc.identifier.uri
- https://open-science.canada.ca/handle/123456789/2284
- dc.language.iso
- en
- dc.publisher
- Elsevier
- dc.subject - en
- Health
- Health and safety
- dc.subject - fr
- Santé
- Santé et sécurité
- dc.subject.en - en
- Health
- Health and safety
- dc.subject.fr - fr
- Santé
- Santé et sécurité
- dc.title - en
- Tritium in fish from remote lakes in northwestern Ontario, Canada
- dc.type - en
- Article
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